" Les normes réglementaires se complexifient constamment, que ce soit en matière énergétique, légale ou fiscale. Une évidence qui fait que le métier de courtier en immobilier ne s’improvise pas. "
Un bien immobilier est très souvent le fruit d’économies d’une vie ou issu d’un héritage familial. Il est donc souvent chargé de valeurs émotionnelles et financières importantes. Par ailleurs, l’acheteur d’aujourd’hui est beaucoup plus exigeant qu’autrefois. Légitimement, il souhaitera des informations très précises sur différents aspects (servitudes, financement, impact fiscal, situation à l’âge de la retraite, durée de vie des équipements, subventions possibles en cas de rénovation, etc). Seul un vrai professionnel breveté est à même de répondre à toutes ces questions sans la moindre hésitation.
Aujourd’hui, un vrai professionnel est obligatoirement au bénéfice d’une formation qui se doit d’être validée à terme par un Brevet Fédéral de courtier en immeubles. Celui-ci sera alors capable d’accompagner son client et d’assurer le soutien avisé et personnalisé tout au long du processus de vente. De l’évaluation du bien, jusqu’à la conclusion du contrat de vente chez le notaire, ce courtier breveté sera parfaitement formé pour mettre en place une stratégie de vente, la sélection et qualification des clients potentiels, l’organisation des visites et la conduite de toutes les négociations avec éthique, respect et bienveillance. Comment contacter des courtiers en immeubles avec Brevet Fédéral ? Très simple, vous les trouverez dans des agences immobilières sérieuses qui seules ont la capacité logistique et financière de les employer.
Contrairement aux « 079-078-077-076 » (terme pour désigner les agents/conseillers/courtiers éphémères, improvisés et opportunistes), une agence immobilière sérieuse a toujours « pignon sur rue » et est inscrite au Registre du commerce depuis de très nombreuses années. Mais cela ne suffit pas car un courtier en immeubles avec Brevet Fédéral a l’obligation de se tenir parfaitement informé des évolutions législatives et fiscales, mais aussi de la conjoncture économique dans la région où il exerce sa profession à plein temps. A ces fins, il suit plusieurs fois par an, durant toute sa carrière, des cours de formation continue organisés par les associations professionnelles que sont le SVIT ou l’USPI.
La rémunération du courtier est soumise à la liberté contractuelle. Sur le terrain, les taux de commissions proposés sont proportionnels au sérieux de l’agence et aux réelles compétences du courtier. Les agences immobilières sérieuses qui emploient des courtiers en immeubles avec Brevet Fédéral pratiquent des taux de commission qui se situent entre 5 et 6% + TVA. Elles offrent des garanties afin que l’achat ou la vente d’un bien immobilier puisse aboutir rapidement, sereinement et au meilleur prix.
Le courtier en immobilier n’est rémunéré que par son mandant. Il ne peut en aucun cas être rémunéré à la fois par l’acheteur et le vendeur. Contrairement aux sociétés de courtage et d’estimation en ligne, dont une nouvelle ouvre et une autre ferme chaque semaine et qui proposent des estimations gratuites et des rémunérations forfaitaires que la vente se fasse ou non. La rémunération à la commission présente l’avantage d’aligner les intérêts du courtier à ceux du vendeur puisque le courtier ne sera rémunéré uniquement en cas de résultat.
" Les agences immobilières sérieuses qui emploient des courtiers en immeubles avec Brevet Fédéral pratiquent des taux de commission qui se situent entre 5 et 6% + TVA. "